Lettre n° 3289
Par la grâce de D.ieu,
21 Chevat 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
issu d’une illustre famille, le Rav Chalom
Yé’hezkel Shraga(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
C’est avec plaisir que j’ai reçu votre lettre, en son temps, de même que ce qu’elle contenait, des responsa portant sur le statut des personnes dépendant d’un plaignant(2). Comme vous me le demandez, celles-ci vous sont restituées.
Vous avez mentionné, dans vos responsa, les références du Talmud et des Décisionnaires traitant de cette question. A mon sens, le point essentiel est le suivant. Les juges doivent, dans toute la mesure du possible, s’efforcer d’établir si le risque que le plaignant se retire est réel ou bien illusoire.
En effet, un juge a l’obligation de rendre un verdict rigoureusement exact et nos Sages tranchent, au traité Chevouot 30b, comme le citent les Tossafot, au traité Baba Batra 8b, que, dans la plupart des cas, c’est en fonction de ces éléments que le juge décidera s’il doit suivre l’accusé, lorsque celui-ci prétend, par la suite, que le plaignant s’est retiré.
Je vous joins ce qui a été publié à l’occasion de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, ce 10 Chevat. Cela vous intéressera sûrement.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav C. Y. S. Rubin Halbershtam, Rabbi de Tchéchinov. Voir, à son sujet, la lettre n°2397.
(2) Dont le destinataire de cette lettre est l’auteur et pour lesquelles il demande vraisemblablement l’avis du Rabbi.
21 Chevat 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
issu d’une illustre famille, le Rav Chalom
Yé’hezkel Shraga(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
C’est avec plaisir que j’ai reçu votre lettre, en son temps, de même que ce qu’elle contenait, des responsa portant sur le statut des personnes dépendant d’un plaignant(2). Comme vous me le demandez, celles-ci vous sont restituées.
Vous avez mentionné, dans vos responsa, les références du Talmud et des Décisionnaires traitant de cette question. A mon sens, le point essentiel est le suivant. Les juges doivent, dans toute la mesure du possible, s’efforcer d’établir si le risque que le plaignant se retire est réel ou bien illusoire.
En effet, un juge a l’obligation de rendre un verdict rigoureusement exact et nos Sages tranchent, au traité Chevouot 30b, comme le citent les Tossafot, au traité Baba Batra 8b, que, dans la plupart des cas, c’est en fonction de ces éléments que le juge décidera s’il doit suivre l’accusé, lorsque celui-ci prétend, par la suite, que le plaignant s’est retiré.
Je vous joins ce qui a été publié à l’occasion de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, ce 10 Chevat. Cela vous intéressera sûrement.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav C. Y. S. Rubin Halbershtam, Rabbi de Tchéchinov. Voir, à son sujet, la lettre n°2397.
(2) Dont le destinataire de cette lettre est l’auteur et pour lesquelles il demande vraisemblablement l’avis du Rabbi.