Lettre n° 3235
Par la grâce de D.ieu,
27 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Dov Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du mardi de la Parchat Vaéra et j’ai été satisfait d’y apprendre que vous appréciez, à sa juste valeur, l’œuvre de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, de même que l’influence qu’il a exercé sur ce pays.
Pour tout ce qui concerne les enfants d’Israël, l’acte est essentiel et non l’étude. Votre appréciation aura donc sûrement pour conséquence des actions positives, que vous mènerez dans votre entourage et, de façon générale, auprès de vos élèves.
Vous connaissez le proverbe de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, selon lequel le Rav(2) est appelé le “ maître de l’endroit ”, c’est-à-dire, au sens le plus littéral, celui qui le dirige, dans tous les domaines.
Il est clair que, dans ce pays, il est tout aussi nécessaire d’adopter une telle attitude, même si le “ vêtement ” et l’apparence extérieure de l’action sont différents, selon les conditions du lieu, de l’époque et du prétendu pouvoir des présidents(3). En effet, la Torah, avec tout ce qui la concerne, est éternelle, en tout endroit et à tout moment.
Il est dit que “ le Saint béni soit-Il ne prend pas Ses créatures par mégarde ”. Il accorde donc à chacun les forces nécessaires pour agir de la manière qui convient, en particulier quand il s’agit d’une personnalité publique, assumant des fonctions communautaires, comme un Rav.
Puisse D.ieu faire que, pendant de nombreuses années, vous ajoutiez à votre entourage “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même que le luminaire de la Torah, qui en est la dimension profonde.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav D. A Chayat, de Boston.
(2) Le destinataire de cette lettre est le Rav d’une communauté.
(3) De communautés.
27 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Dov Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du mardi de la Parchat Vaéra et j’ai été satisfait d’y apprendre que vous appréciez, à sa juste valeur, l’œuvre de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, de même que l’influence qu’il a exercé sur ce pays.
Pour tout ce qui concerne les enfants d’Israël, l’acte est essentiel et non l’étude. Votre appréciation aura donc sûrement pour conséquence des actions positives, que vous mènerez dans votre entourage et, de façon générale, auprès de vos élèves.
Vous connaissez le proverbe de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, selon lequel le Rav(2) est appelé le “ maître de l’endroit ”, c’est-à-dire, au sens le plus littéral, celui qui le dirige, dans tous les domaines.
Il est clair que, dans ce pays, il est tout aussi nécessaire d’adopter une telle attitude, même si le “ vêtement ” et l’apparence extérieure de l’action sont différents, selon les conditions du lieu, de l’époque et du prétendu pouvoir des présidents(3). En effet, la Torah, avec tout ce qui la concerne, est éternelle, en tout endroit et à tout moment.
Il est dit que “ le Saint béni soit-Il ne prend pas Ses créatures par mégarde ”. Il accorde donc à chacun les forces nécessaires pour agir de la manière qui convient, en particulier quand il s’agit d’une personnalité publique, assumant des fonctions communautaires, comme un Rav.
Puisse D.ieu faire que, pendant de nombreuses années, vous ajoutiez à votre entourage “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même que le luminaire de la Torah, qui en est la dimension profonde.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav D. A Chayat, de Boston.
(2) Le destinataire de cette lettre est le Rav d’une communauté.
(3) De communautés.