Lettre n° 3166

Par la grâce de D.ieu,
4 Tévet 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai appris avec plaisir que le médecin vous a permis de rentrer à la maison. Puisse D.ieu faire que votre état continue à s’améliorer.

Il est sûrement inutile de vous rappeler que “ la Torah a donné au médecin l’autorisation de guérir ”. Ce principe est établi par la Torah elle-même. Ne suivez donc pas ceux qui commettent l’erreur de prétendre que quiconque a la crainte de D.ieu ne doit pas s’en remettre au médecin, mais...(1). Le contraire est vrai.

Vous connaissez le dicton du Rabbi Rachab, qu’il transmit à son fils, mon beau-père, le Rabbi, en lui montrant son bras: “ Voici à quel point il est précieux, car, pour lui, ont été déversés tant de Torah et de Mitsvot ”(2). Vous connaissez aussi le dicton suivant de l’Admour Hazaken: “ On n’a pas idée à quel point le corps juif est chéri de D.ieu ”(3).

Que D.ieu vous accorde le succès et hâte votre guérison. Pour cela, vous respecterez les prescriptions du médecin, émissaire de Celui Qui “ Guérit toute chair et accomplit des merveilles ”. Et, vous retrouverez tous ces jours(4), qui seront multipliés pour vous, parce que votre réussite sera accrue, dans l’étude de la Torah et la pratique des Mitsvot, après que vous ayez recouvré la santé.

Avec ma bénédiction de prompte guérison et de complète guérison,

M. Schneerson,

Notes

(1) Uniquement à D.ieu Lui-même.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2178.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2383.
(4) De maladie.