Lettre n° 3162
Par la grâce de D.ieu,
4 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav A. ‘Hano’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu vos lettres et les deux livres, le ‘puits de la ‘Hassidout’ et la dernière édition des écrits de Rabbi Na’hman de Breslev, de même que les coupures de presse. Je vous en remercie et vous prie de continuer ces envois, à l’avenir.
Vous publiez dans la presse, chaque fois que cela est possible, des articles sur la ‘Hassidout, son enseignement, ses pratiques et ses usages. Tout cela est particulièrement important. Il est difficile d’imaginer tout ce qui peut en résulter.
J’ai vu, dans l’une de ces coupures, la reproduction de l’une de mes causeries(2). Il est dommage de ne pas avoir précisé que celle-ci était traduite du Yiddish et que je n’en avais pas relu la traduction(3). A l’avenir, il faudra faire figurer cette mention, car on ne peut comparer ce qui est dit oralement à ce qui est ensuite rédigé par écrit.
Quand on rédige, et a fortiori quand cela doit faire l’objet d’une publication, on supprime les répétitions, alors que, dans un exposé oral, celles-ci servent à insister sur une idée ou à la présenter à ceux qui viennent d’arriver. Ce qui est imprimé peut également être lu par ceux qui n’ont aucune connaissance de la ‘Hassidout. Il faut donc apporter certaines précisions, au moins entre parenthèses et présenter les idées de la plus simple vers la plus complexe.
A l’avenir, on précisera donc que la rédaction a été faite à partir des notes prises par ceux qui étaient présents et que le texte en a été traduit dans une autre langue. En ce cas-là, si la traduction n’est pas parfaitement exacte, ce sera moins grave. Il serait bon que chaque article, avant d’être publié, soit relu par quelqu’un qui ne connaît pas bien la ‘Hassidout. On lui demandera si ce texte est compréhensible ou bien si d’autres précisions sont nécessaires.
Bien évidemment, malgré tout cela, il est bon de diffuser ces articles, car c’est bien ainsi que l’on fraye le chemin(4).
Je suis surpris de ne pas avoir reçu, pour l’heure, des précisions sur la réunion ‘hassidique qui s’est tenue à Kfar ‘Habad. Il semble que la raison en soit la multiplicité des responsables. Dès réception de cette lettre, vous compléterez donc tout cela et plus vous serez précis, mieux cela sera.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Avraham ‘Hano’h Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°2989.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3159.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2989.
(4) Pour parvenir ensuite à la formulation qui convient.
4 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav A. ‘Hano’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu vos lettres et les deux livres, le ‘puits de la ‘Hassidout’ et la dernière édition des écrits de Rabbi Na’hman de Breslev, de même que les coupures de presse. Je vous en remercie et vous prie de continuer ces envois, à l’avenir.
Vous publiez dans la presse, chaque fois que cela est possible, des articles sur la ‘Hassidout, son enseignement, ses pratiques et ses usages. Tout cela est particulièrement important. Il est difficile d’imaginer tout ce qui peut en résulter.
J’ai vu, dans l’une de ces coupures, la reproduction de l’une de mes causeries(2). Il est dommage de ne pas avoir précisé que celle-ci était traduite du Yiddish et que je n’en avais pas relu la traduction(3). A l’avenir, il faudra faire figurer cette mention, car on ne peut comparer ce qui est dit oralement à ce qui est ensuite rédigé par écrit.
Quand on rédige, et a fortiori quand cela doit faire l’objet d’une publication, on supprime les répétitions, alors que, dans un exposé oral, celles-ci servent à insister sur une idée ou à la présenter à ceux qui viennent d’arriver. Ce qui est imprimé peut également être lu par ceux qui n’ont aucune connaissance de la ‘Hassidout. Il faut donc apporter certaines précisions, au moins entre parenthèses et présenter les idées de la plus simple vers la plus complexe.
A l’avenir, on précisera donc que la rédaction a été faite à partir des notes prises par ceux qui étaient présents et que le texte en a été traduit dans une autre langue. En ce cas-là, si la traduction n’est pas parfaitement exacte, ce sera moins grave. Il serait bon que chaque article, avant d’être publié, soit relu par quelqu’un qui ne connaît pas bien la ‘Hassidout. On lui demandera si ce texte est compréhensible ou bien si d’autres précisions sont nécessaires.
Bien évidemment, malgré tout cela, il est bon de diffuser ces articles, car c’est bien ainsi que l’on fraye le chemin(4).
Je suis surpris de ne pas avoir reçu, pour l’heure, des précisions sur la réunion ‘hassidique qui s’est tenue à Kfar ‘Habad. Il semble que la raison en soit la multiplicité des responsables. Dès réception de cette lettre, vous compléterez donc tout cela et plus vous serez précis, mieux cela sera.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Avraham ‘Hano’h Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°2989.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3159.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2989.
(4) Pour parvenir ensuite à la formulation qui convient.