Lettre n° 3156
Par la grâce de D.ieu,
2 Tévet 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat Vayéchev et je suis surpris que vous attendiez, pour m’annoncer une nouvelle, que survienne un événement qui ne participe pas du bien visible et tangible. Il serait bon que vous adoptiez l’attitude de la Torah, de laquelle il est dit que “ ses voies sont des voies agréables ”, en transmettant une nouvelle réjouissante dès lors qu’elle se présente. Et, ceci sera favorable également pour le bien qui est caché.
Je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour tout ce que vous citez dans votre lettre. Mais, vous connaissez sûrement ma position, énoncée également par de nombreux livres sacrés, selon laquelle il est bon de s’acquitter des vœux que l’on formule envers D.ieu, en les considérant d’emblée comme applicables et en ne les assortissant d’aucune condition, c’est-à-dire en écartant les limitations comme: “ Je veux d’abord voir le bien évident que D.ieu m’accorde et c’est ensuite que je tiendrai mon engagement ”. Il est certain que le Saint béni soit-Il accorde à l’homme ce qui lui revient et point n’est besoin, pour cela, de lui fixer des conditions.
Je suis surpris que vous n’évoquiez pas la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, celui de notre délivrance et de la libération de nos âmes, de même que les bonnes résolutions qui y ont été prises, pour toute l’année.
En effet, tout au long de l’année, s’applique l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ Je dors en exil, mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et Ses Mitsvot ”. Combien plus en est-il ainsi, en ces jours propices.
Car, lorsqu’un Juif ouvre, grâce à l’effort qui convient, comme une pointe d’aiguille, D.ieu lui ouvre comme le portique du Sanctuaire.
La ‘Hassidout explique ce que cela signifie. Le Sanctuaire n’avait pas de portes. A l’élévation quantitative, s’ajoutait donc également une élévation qualitative. Il était ouvert en permanence et il suffisait d’entrer dans l’esplanade. Bien plus, aucune barrière ne séparait celle d’Israël de celle des Cohanim. Il suffisait donc de gravir des marches. Vous comprendrez ce que cela veut dire.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous donniez de bonnes nouvelles,
2 Tévet 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat Vayéchev et je suis surpris que vous attendiez, pour m’annoncer une nouvelle, que survienne un événement qui ne participe pas du bien visible et tangible. Il serait bon que vous adoptiez l’attitude de la Torah, de laquelle il est dit que “ ses voies sont des voies agréables ”, en transmettant une nouvelle réjouissante dès lors qu’elle se présente. Et, ceci sera favorable également pour le bien qui est caché.
Je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour tout ce que vous citez dans votre lettre. Mais, vous connaissez sûrement ma position, énoncée également par de nombreux livres sacrés, selon laquelle il est bon de s’acquitter des vœux que l’on formule envers D.ieu, en les considérant d’emblée comme applicables et en ne les assortissant d’aucune condition, c’est-à-dire en écartant les limitations comme: “ Je veux d’abord voir le bien évident que D.ieu m’accorde et c’est ensuite que je tiendrai mon engagement ”. Il est certain que le Saint béni soit-Il accorde à l’homme ce qui lui revient et point n’est besoin, pour cela, de lui fixer des conditions.
Je suis surpris que vous n’évoquiez pas la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, celui de notre délivrance et de la libération de nos âmes, de même que les bonnes résolutions qui y ont été prises, pour toute l’année.
En effet, tout au long de l’année, s’applique l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ Je dors en exil, mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et Ses Mitsvot ”. Combien plus en est-il ainsi, en ces jours propices.
Car, lorsqu’un Juif ouvre, grâce à l’effort qui convient, comme une pointe d’aiguille, D.ieu lui ouvre comme le portique du Sanctuaire.
La ‘Hassidout explique ce que cela signifie. Le Sanctuaire n’avait pas de portes. A l’élévation quantitative, s’ajoutait donc également une élévation qualitative. Il était ouvert en permanence et il suffisait d’entrer dans l’esplanade. Bien plus, aucune barrière ne séparait celle d’Israël de celle des Cohanim. Il suffisait donc de gravir des marches. Vous comprendrez ce que cela veut dire.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous donniez de bonnes nouvelles,