Lettre n° 3146
Par la grâce de D.ieu,
Troisième jour de ‘Hanoukka 5715,
Brooklyn, New York,
Que connaisse une large paix cet homme important,
grand Rav, ‘Hassid qui craint D.ieu, rend le jugement,
homme dynamique, aux multiples accomplissements,
dirigeant sa communauté dans la droiture, qui éclaire
et illumine, dont les feuilles et les fruits sont bons,
qui est issu d’une illustre famille, grand érudit,
Rabbi Meïr Abuhatsera Chlita(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, avec plaisir, qu’une réunion ‘hassidique a eu lieu, le 19 Kislev, fête de la libération de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah. Vous avez sans doute profité du moment propice qu’a été cette réunion. En effet, disent nos Sages, “ grand est l’aliment partagé(2), qui crée la proximité ”. De la sorte, tous les participants peuvent ainsi se rapprocher de la Torah et de Ses Mitsvot.
Tout au long de l’année, s’applique l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ Je dors en exil, mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et Ses Mitsvot ”. Combien plus en est-il ainsi, en ces jours propices.
En effet, lorsqu’un Juif ouvre, grâce à l’effort qui convient, comme une pointe d’aiguille, D.ieu lui ouvre comme le portique du Sanctuaire.
La ‘Hassidout explique ce que cela signifie. Le Sanctuaire n’avait pas de portes. Il était donc ouvert en permanence et il suffisait d’entrer dans l’esplanade. Bien plus, aucune barrière ne séparait celle d’Israël de celle des Cohanim. Il suffisait donc de gravir des marches. Vous comprendrez ce que cela veut dire.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le fils de Baba Salé. Voir, son sujet, la lettre n°1885.
(2) Au cours d’une telle réunion.
Troisième jour de ‘Hanoukka 5715,
Brooklyn, New York,
Que connaisse une large paix cet homme important,
grand Rav, ‘Hassid qui craint D.ieu, rend le jugement,
homme dynamique, aux multiples accomplissements,
dirigeant sa communauté dans la droiture, qui éclaire
et illumine, dont les feuilles et les fruits sont bons,
qui est issu d’une illustre famille, grand érudit,
Rabbi Meïr Abuhatsera Chlita(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, avec plaisir, qu’une réunion ‘hassidique a eu lieu, le 19 Kislev, fête de la libération de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah. Vous avez sans doute profité du moment propice qu’a été cette réunion. En effet, disent nos Sages, “ grand est l’aliment partagé(2), qui crée la proximité ”. De la sorte, tous les participants peuvent ainsi se rapprocher de la Torah et de Ses Mitsvot.
Tout au long de l’année, s’applique l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ Je dors en exil, mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et Ses Mitsvot ”. Combien plus en est-il ainsi, en ces jours propices.
En effet, lorsqu’un Juif ouvre, grâce à l’effort qui convient, comme une pointe d’aiguille, D.ieu lui ouvre comme le portique du Sanctuaire.
La ‘Hassidout explique ce que cela signifie. Le Sanctuaire n’avait pas de portes. Il était donc ouvert en permanence et il suffisait d’entrer dans l’esplanade. Bien plus, aucune barrière ne séparait celle d’Israël de celle des Cohanim. Il suffisait donc de gravir des marches. Vous comprendrez ce que cela veut dire.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le fils de Baba Salé. Voir, son sujet, la lettre n°1885.
(2) Au cours d’une telle réunion.