Lettre n° 3089
Par la grâce de D.ieu,
8 Kislev 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nissan(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre télégramme, dans lequel vous m’annoncez que vous êtes bien rentré(2), puis votre lettre de Roch ‘Hodech Kislev, de même que la précédente. Je vous remercie pour les bonnes nouvelles que vous m’y annoncez.
Puisse D.ieu faire que la parole du Rabbi Maharach, “ il ira du bien vers le mieux ” s’accomplisse, au plus vite, en celui que vous citez et qui aura de bons jours et de longues années. Il en sera de même également pour les bonnes nouvelles qu’il pourra annoncer.
Je vous avais dit, avant votre départ, qu’il ne fallait pas exercer de pressions sur lui pour ce qui concerne la crainte de D.ieu(3). En effet, “ la Torah a donné au médecin l’autorisation de guérir ” et elle lui en insuffle donc la force. En conséquence, celui-ci établit une prescription par la force de la Torah. Mais, à la lecture de votre lettre, je suis un peu surpris de constater que l’on ne fait pas attention à tout cela(4).
A n’en pas douter, ce qui en résultera sera uniquement le bien. Pour autant, il ne convient pas d’agir de la sorte. A l’avenir, au moins, on s’en tiendra aux prescriptions du médecin, en la matière.
En saluant tous les ‘Hassidim et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav N. Nemanov, directeur de la Yechiva Loubavitch de Brunoy, dans la région parisienne. Voir, à son sujet, les lettres n°2641 et 3111.
(2) A l’issue de la visite du Rav N. Nemanov, chez le Rabbi, pour le mois de Tichri.
(3) Du fait de la maladie de cette personne.
(4) Que l’on exerce bien de telles pressions.
8 Kislev 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nissan(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre télégramme, dans lequel vous m’annoncez que vous êtes bien rentré(2), puis votre lettre de Roch ‘Hodech Kislev, de même que la précédente. Je vous remercie pour les bonnes nouvelles que vous m’y annoncez.
Puisse D.ieu faire que la parole du Rabbi Maharach, “ il ira du bien vers le mieux ” s’accomplisse, au plus vite, en celui que vous citez et qui aura de bons jours et de longues années. Il en sera de même également pour les bonnes nouvelles qu’il pourra annoncer.
Je vous avais dit, avant votre départ, qu’il ne fallait pas exercer de pressions sur lui pour ce qui concerne la crainte de D.ieu(3). En effet, “ la Torah a donné au médecin l’autorisation de guérir ” et elle lui en insuffle donc la force. En conséquence, celui-ci établit une prescription par la force de la Torah. Mais, à la lecture de votre lettre, je suis un peu surpris de constater que l’on ne fait pas attention à tout cela(4).
A n’en pas douter, ce qui en résultera sera uniquement le bien. Pour autant, il ne convient pas d’agir de la sorte. A l’avenir, au moins, on s’en tiendra aux prescriptions du médecin, en la matière.
En saluant tous les ‘Hassidim et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav N. Nemanov, directeur de la Yechiva Loubavitch de Brunoy, dans la région parisienne. Voir, à son sujet, les lettres n°2641 et 3111.
(2) A l’issue de la visite du Rav N. Nemanov, chez le Rabbi, pour le mois de Tichri.
(3) Du fait de la maladie de cette personne.
(4) Que l’on exerce bien de telles pressions.