Lettre n° 2994
Par la grâce de D.ieu,
5 Mar’hechvan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que, lorsque vous affirmez que l’éducation des filles doit être basée sur la Torah et non uniquement sur la Tradition, on vous répond que cela est interdit.
Or, la pratique concrète, en ces dernières générations, fait la preuve qu’une telle conception est à écarter, qu’elle est même hors de question. Quiconque observe la situation voit le dommage et les dégâts qui en ont résulté, surtout dernièrement.
Celui qui consulte le Choul’han Arou’h, sans même en avoir une compréhension profonde, mais uniquement en en traduisant les mots, sait que la Hala’ha est la suivante, selon les lois de l’étude de la Torah, de l’Admour Hazaken, à la fin du premier chapitre, dont vous consulterez les références :
“ Les femmes sont tenus d’apprendre les lois dont elles ont besoin, par exemple celles de la Nidda, de l’immersion rituelle, du salage de la viande, l’interdiction de s’isoler avec un homme, de même que toutes les Injonctions qui n’ont pas un temps fixé, toutes les Interdictions, de la Torah ou des Sages, qu’elles sont tenues de mettre en pratique.
A l’époque des Sages, un maître commentait les lois courantes et habituelles, que chacun devait connaître, dans une langue que les femmes comprenaient ”.
5 Mar’hechvan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que, lorsque vous affirmez que l’éducation des filles doit être basée sur la Torah et non uniquement sur la Tradition, on vous répond que cela est interdit.
Or, la pratique concrète, en ces dernières générations, fait la preuve qu’une telle conception est à écarter, qu’elle est même hors de question. Quiconque observe la situation voit le dommage et les dégâts qui en ont résulté, surtout dernièrement.
Celui qui consulte le Choul’han Arou’h, sans même en avoir une compréhension profonde, mais uniquement en en traduisant les mots, sait que la Hala’ha est la suivante, selon les lois de l’étude de la Torah, de l’Admour Hazaken, à la fin du premier chapitre, dont vous consulterez les références :
“ Les femmes sont tenus d’apprendre les lois dont elles ont besoin, par exemple celles de la Nidda, de l’immersion rituelle, du salage de la viande, l’interdiction de s’isoler avec un homme, de même que toutes les Injonctions qui n’ont pas un temps fixé, toutes les Interdictions, de la Torah ou des Sages, qu’elles sont tenues de mettre en pratique.
A l’époque des Sages, un maître commentait les lois courantes et habituelles, que chacun devait connaître, dans une langue que les femmes comprenaient ”.