Lettre n° 2969
Par la grâce de D.ieu,
6 Tichri 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Morde’haï Chmouel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Elloul et à la demande de bénédiction qui l’accompagnait. Vous me dites que vous enseignez: “ Kamats, Alef, A ”, c’est-à-dire les voyelles et les consonnes séparément(2), conformément aux directives de nos saints maîtres, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour qu’il en soit ainsi(3). Vous me demandez quelle prononciation vous devez enseigner, les élèves de votre classe étant d’origine yéménite.
Depuis, de nombreuses générations, nos frères séfarades sont habitués à leur prononciation. Il n’y a donc pas lieu de modifier leur coutume, puisqu’ils doivent maintenir celles de leurs ancêtres. A n’en pas douter, en étudiant la ‘Hassidout avec une prononciation séfarade, qu’ils détiennent de leurs parents et des parents de leurs parents, lesquels firent don d’eux-mêmes pour sanctifier le Nom de D.ieu, ils procureront du plaisir au Saint béni soit-Il, là-haut et ceci fera son effet, ici-bas.
Vous me dites que vous participez aux études de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. J’en suis satisfait. Au cours de l’année qui vient, vous intensifierez sûrement cette pratique et vous connaissez la décision de nos Sages selon laquelle “ à quiconque ajoute(4), on ajoute(5) ”.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav A. M. C. Lieder, de Jérusalem.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2325.
(3) Pour que l’on rejette la méthode globale.
(4) Des efforts pour servir D.ieu
(5) Des bénédictions célestes.
6 Tichri 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Morde’haï Chmouel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Elloul et à la demande de bénédiction qui l’accompagnait. Vous me dites que vous enseignez: “ Kamats, Alef, A ”, c’est-à-dire les voyelles et les consonnes séparément(2), conformément aux directives de nos saints maîtres, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour qu’il en soit ainsi(3). Vous me demandez quelle prononciation vous devez enseigner, les élèves de votre classe étant d’origine yéménite.
Depuis, de nombreuses générations, nos frères séfarades sont habitués à leur prononciation. Il n’y a donc pas lieu de modifier leur coutume, puisqu’ils doivent maintenir celles de leurs ancêtres. A n’en pas douter, en étudiant la ‘Hassidout avec une prononciation séfarade, qu’ils détiennent de leurs parents et des parents de leurs parents, lesquels firent don d’eux-mêmes pour sanctifier le Nom de D.ieu, ils procureront du plaisir au Saint béni soit-Il, là-haut et ceci fera son effet, ici-bas.
Vous me dites que vous participez aux études de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. J’en suis satisfait. Au cours de l’année qui vient, vous intensifierez sûrement cette pratique et vous connaissez la décision de nos Sages selon laquelle “ à quiconque ajoute(4), on ajoute(5) ”.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav A. M. C. Lieder, de Jérusalem.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2325.
(3) Pour que l’on rejette la méthode globale.
(4) Des efforts pour servir D.ieu
(5) Des bénédictions célestes.