Lettre n° 2595
[13 Nissan 5714]
Une action est irréversible(1). Il s’agit, en l’occurrence, d’un acte de mariage et non de divorce.
Dans un acte de divorce, on ne peut pas citer un nom qui n’est pas du tout porté par un homme, si nul ne l’appelle ainsi, pas même quand il monte à la Torah, s’il ne signe pas ainsi.
Dans tous les exemples que vous citez et qui sont également contestés, on mentionne également le nom qui est effectivement porté et l’on ajoute la formule “ qui est appelé ”(2).
Ce point ne sera pas développé ici.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à un Rav. Celui-ci devait marier un homme qui avait été malade et à qui un prénom avait alors été rajouté. Le Rav souhaitait, dans l’acte de mariage, inscrire, en premier lieu, ce nom rajouté, bien qu’il soit inusité.
(2) C’est-à-dire le vrai nom, “ qui est appelé ”, puis le nom ajouté.
Une action est irréversible(1). Il s’agit, en l’occurrence, d’un acte de mariage et non de divorce.
Dans un acte de divorce, on ne peut pas citer un nom qui n’est pas du tout porté par un homme, si nul ne l’appelle ainsi, pas même quand il monte à la Torah, s’il ne signe pas ainsi.
Dans tous les exemples que vous citez et qui sont également contestés, on mentionne également le nom qui est effectivement porté et l’on ajoute la formule “ qui est appelé ”(2).
Ce point ne sera pas développé ici.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à un Rav. Celui-ci devait marier un homme qui avait été malade et à qui un prénom avait alors été rajouté. Le Rav souhaitait, dans l’acte de mariage, inscrire, en premier lieu, ce nom rajouté, bien qu’il soit inusité.
(2) C’est-à-dire le vrai nom, “ qui est appelé ”, puis le nom ajouté.