Lettre n° 1887

Par la grâce de D.ieu,
4 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,

Sans doute vous comporterez-vous avec largesse envers moi en m’annonçant une bonne nouvelle, à propos de l’état de santé de cette personne et de celui de tous les autres, dans le domaine spirituel.

Nos Sages disent que les deux cent quarante huit Injonctions correspondent aux deux cent quarante huit membres du corps et les trois cent soixante cinq Interdits à ses trois cent soixante cinq nerfs. Il n’y a pas là uniquement une simple similitude de chiffres. En fait, les membres du corps reçoivent leur vitalité par l’accomplissement des Injonctions de la Torah et les nerfs sont des canaux purs et non flétris, assurant la circulation du sang, grâce au respect des Interdits.

Il est clair que le matériel et le spirituel, chez un homme juif, ne sont pas deux dimensions distinctes, mais ne constituent qu’une seule et même entité, l’un dépendant de l’autre.

L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, indique, de manière allusive, qu’il en est ainsi, dans son Likouteï Torah, à la Parchat Nitsavim, page 45c.

Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,