Lettre n° 1875
[28 Tichri 5713]
L’attribution d’un nom est un moyen de révéler et d’attirer la source première, l’origine cachée, afin qu’il en résulte une action concrète, comme l’établissent différents textes de ‘Hassidout. Grâce à elle, l’âme peut se lier au corps.
Ceci nous permettra de comprendre la controverse, qui opposent nos Sages, tendant à déterminer si Adam, le premier homme, décerna également des noms aux poissons. En effet, ceux-ci correspondent aux créatures du monde caché, qui vont à l’encontre de cette révélation.
Néanmoins, ce monde caché, par rapport à celui qui le dépasse, peut également être considéré comme révélé. C’est pour cela que, selon un avis, Adam donna effectivement un nom à ces poissons.
Vous consulterez, à ce propos, les Tossafot sur le traité ‘Houlin 66b, le ‘Hizkouni et le Radak, commentant le verset Béréchit 2, 19, le Midrach ‘Hasser Veyatir et d’autres textes.
L’attribution d’un nom est un moyen de révéler et d’attirer la source première, l’origine cachée, afin qu’il en résulte une action concrète, comme l’établissent différents textes de ‘Hassidout. Grâce à elle, l’âme peut se lier au corps.
Ceci nous permettra de comprendre la controverse, qui opposent nos Sages, tendant à déterminer si Adam, le premier homme, décerna également des noms aux poissons. En effet, ceux-ci correspondent aux créatures du monde caché, qui vont à l’encontre de cette révélation.
Néanmoins, ce monde caché, par rapport à celui qui le dépasse, peut également être considéré comme révélé. C’est pour cela que, selon un avis, Adam donna effectivement un nom à ces poissons.
Vous consulterez, à ce propos, les Tossafot sur le traité ‘Houlin 66b, le ‘Hizkouni et le Radak, commentant le verset Béréchit 2, 19, le Midrach ‘Hasser Veyatir et d’autres textes.