Lettre n° 1641
Par la grâce de D.ieu,
16 Sivan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, par le Rav Gabriel Zelkind Kagan, que vous étudiez la Guemara de manière systématique. Sans doute participez-vous également au cours public qui en est donné, mais, bien évidemment, cela n’est nullement suffisant.
Le Talmud indique que seuls ceux qui doivent consacrer de nombreuses heures, chaque jour, à assurer leur subsistance matérielle peuvent se contenter d’étudier un chapitre le matin et un autre le soir. C’est également cette position que retiennent le Choul’han Arou’h, lois de l’étude de la Torah et, en particulier, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, lois de l’étude de la Torah. A l’opposé, ceux qui ne subissent pas cette contrainte ont la possibilité et parfois même l’obligation de se consacrer à l’étude de la Torah et de ne conserver que quelques heures pour les autres activités.
De façon générale, on ne peut déterminer soi-même à quelle catégorie(1) on appartient. D’autres doivent le faire. En effet, on ne saurait être objectif sur son propre compte et le "petit malin"(2) trouve alors différents arguments, incite l’homme à s’écarter du chemin qui le conduit vers la maison de D.ieu.
Je ne vous connais pas. Je ne sais pas quelle est votre étude et le temps que vous pouvez lui consacrer, ni quel est votre commerce et le degré d’implication qu’il requiert. Vous devez donc consulter les ‘Hassidim âgés de votre ville, qui vous connaissent. Il vous indiqueront comment répartir votre temps entre l’étude de la Torah et ce qui est lié à la crainte de D.ieu, d’une part, les activités de ce monde, d’autre part. Vous vous conformerez à leur avis.
D.ieu vous accordera la réussite et vous trouverez votre voie. Vous connaîtrez ainsi des élévations successives. Notre sainte Torah tranche, en effet, que "l’on doit rechercher l’ascension en tout ce qui est lié à la sainteté".
Notes
(1) Ceux qui peuvent se contenter d’une étude minimale ou ceux qui doivent lui consacrer plusieurs heures.
(2) Le penchant vers le mal.
16 Sivan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, par le Rav Gabriel Zelkind Kagan, que vous étudiez la Guemara de manière systématique. Sans doute participez-vous également au cours public qui en est donné, mais, bien évidemment, cela n’est nullement suffisant.
Le Talmud indique que seuls ceux qui doivent consacrer de nombreuses heures, chaque jour, à assurer leur subsistance matérielle peuvent se contenter d’étudier un chapitre le matin et un autre le soir. C’est également cette position que retiennent le Choul’han Arou’h, lois de l’étude de la Torah et, en particulier, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, lois de l’étude de la Torah. A l’opposé, ceux qui ne subissent pas cette contrainte ont la possibilité et parfois même l’obligation de se consacrer à l’étude de la Torah et de ne conserver que quelques heures pour les autres activités.
De façon générale, on ne peut déterminer soi-même à quelle catégorie(1) on appartient. D’autres doivent le faire. En effet, on ne saurait être objectif sur son propre compte et le "petit malin"(2) trouve alors différents arguments, incite l’homme à s’écarter du chemin qui le conduit vers la maison de D.ieu.
Je ne vous connais pas. Je ne sais pas quelle est votre étude et le temps que vous pouvez lui consacrer, ni quel est votre commerce et le degré d’implication qu’il requiert. Vous devez donc consulter les ‘Hassidim âgés de votre ville, qui vous connaissent. Il vous indiqueront comment répartir votre temps entre l’étude de la Torah et ce qui est lié à la crainte de D.ieu, d’une part, les activités de ce monde, d’autre part. Vous vous conformerez à leur avis.
D.ieu vous accordera la réussite et vous trouverez votre voie. Vous connaîtrez ainsi des élévations successives. Notre sainte Torah tranche, en effet, que "l’on doit rechercher l’ascension en tout ce qui est lié à la sainteté".
Notes
(1) Ceux qui peuvent se contenter d’une étude minimale ou ceux qui doivent lui consacrer plusieurs heures.
(2) Le penchant vers le mal.