Lettre n° 9531

Par la grâce de D.ieu,


mois de Mena’hem Av 5728,
Brooklyn, New York,


Je vous salue et vous bénis,


J’ai bien reçu votre lettre(1). Nous sommes en les jours du mois de Mena’hem Av et que notre Père Qui se trouve dans les cieux, Père miséricordieux et Père de la miséricorde(2) console(3) donc Son peuple Israël, comme nos Sages en donnent l’assurance, par une double consolation(4), double pour atteindre la sagesse(5).


On sait que le mot “ double ” ne désigne pas ici uniquement deux fois, mais aussi une seconde fois qui est sans aucune commune mesure avec la première. Très prochainement, en ce que nous percevons comme proche, ces jours se transformeront en joie, en allégresse et en fêtes(6), lors de notre délivrance véritable et complète par notre juste Machia’h. Avec ma bénédiction,


Notes


(1) Cette lettre a été adressée à plusieurs personnes.
(2) Le Rabbi note, en bas de page : “Un adjectif ou bien la source de la miséricorde. Voir le Likouteï Torah, Parchat Nasso, à la page 23a”.
(3) Selon le nom de ce mois, Mena’hem, le consolateur. Le Rabbi note, en bas de page : “Lui-même et non par l’intermédiaire de Ses prophètes, selon la Pessikta, citée par les Tossafot, commentant le traité Meguila 31b”.
(4) Le Rabbi note, en bas de page : “Selon le Midrash E’ha Rabba, à la fin du chapitre, le Likouteï Torah, Parchat Nitsavim, à la page 48a et les Rechimot E’ha sur le verset : ‘pleurer, tu pleureras’”, à la page 6, qui furent imprimées par la suite dans le Or Ha Torah, Na’h, tome 2, à partir de la page 1050.
(5) Le Rabbi note, en bas de page : “Voir le Midrash Chemot Rabba, au début du chapitre 46, le commentaire du Be’hayé sur le verset Tissa 32, 15 et le discours ‘hassidique intitulé : ‘le huitième jour, une intériorisation’, de 5689”, imprimé dans le Séfer Ha Maamarim 5689, à partir de la page 59.
(6) Le Rabbi note, en bas de page : “Ze’harya 8, 19. Voir le traité Roch Hachana 18b”.