Lettre n° 9376

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Le commerce(1) est une activité(2) de laquelle vous n’avez pas la moindre(3) idée, que vous n’avez jamais pratiquée. Or, il s’agit d’un cycle en lequel on peut dissimuler de nombreux éléments, sans même s’apercevoir qu’on l’a fait. Si vous vous introduisez dans tout cela, vous devrez vous en remettre totalement(3) à votre associé, sans disposer de la moindre possibilité de contrôle. On peut donc réellement se demander si tout cela est justifié, sauf si un spécialiste entre dans cette affaire avec vous, qui sera au fait des choses et qui ne pourra nullement être suspecté, etc., etc.(3).


Tout cela est très difficile à trouver. Il ne me semble donc pas qu’il faille s’engager en tout cela.


Notes


(1) Voir le Nél’ha Be Or’hotav, à la page 205.
(2) Ceci est la réponse manuscrite du Rabbi à quelqu’un qui lui demandait s’il pouvait se consacrer au commerce avec un associé, précisant : “je n’en ai pas la moindre idée et je ne l’ai jamais pratiqué”.
(3) Le Rabbi souligne les mots : “pas la moindre”, “totalement” et “etc., etc.”.