Lettre n° 9372

[Elloul 5727]


Il y a(1), en l’occurrence, plusieurs points qui se présentent simultanément(2), le nom de la grand-mère, celui de la mère, celui de la fiancée, un grand frère. Vous réunirez donc trois Rabbanim, qui baseront sûrement leur analyse sur les responsa du Tséma’h Tsédek, partie Even Ha Ezer, au chapitre 143, selon lesquelles on doit se marier à dix-huit ans, conformément à la Michna(3). Et nos Sages déduisent de la Mitsva de s’attacher à D.ieu qu’il est bon d’épouser la fille d’un érudit et de marier sa propre fille à un érudit, selon les lois des opinions(4), chapitre 6, au paragraphe 2, ainsi qu’il est dit(5) : “ Tu feras d’après ce qu’ils t’enseigneront ”. Ce sera en un moment bon et fructueux.


Notes


(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 24, à la page 461.
(2) Et font obstacle à un mariage qui est envisagé.
(3) Traité Avot, à la fin du chapitre 5. L’avis des Rabbanim devra donc faciliter la possibilité de se marier, en pareil cas.
(4) Du Rambam.
(5) Choftim 17, 10-11.