C’est un grand honneur que d’être appelé à la Torah ; cependant, comme le nombre d’appelés est limité, on en compte 8 le Chabbat ; 3 le Chabbat après-midi, le lundi et le jeudi ; 4 Roch ‘Hodech ; 5 les jours de fête, et, qu’en général, les deux premiers appelés sont un Cohen puis un Lévi, il convient de respecter certaines priorités :
Il convient de mettre un couvre chef et une veste quand on est appelé à la Torah.
Celui qui est appelé ne doit pas refuser ; il prendra le chemin le plus court pour ne pas faire attendre la Torah.
Avant qu’il ne prononce la bénédiction, on lui montre où commence et où finit le passage qu’on lira pour lui.
L’appelé touche avec les Tsitsit de son châle de prière (ou avec la ceinture du Séfer Torah) ces deux passages, en faisant attention à ne pas frotter l’étoffe contre le parchemin, pour éviter d’effacer ou d’abîmer les lettres.
Celui dont les vêtements ou le chapeau sont mouillés (par la pluie par exemple), veillera à ce qu’aucune humidité ne soit en contact avec le parchemin. On ne touche pas le parchemin avec les mains mais avec le Talit (châle de prière) ou le stylet réservé à cet usage.
On dit la bénédiction à voix haute afin que les fidèles présents puissent répondre Amen.
On ne peut quitter la synagogue tant que la lecture de la Torah n’est pas terminée, même si dix hommes sont présents, même si on a déjà entendu la lecture lors d’un office précédent.
Il est d’usage d’offrir une contribution pour les œuvres charitables de la communauté.