Par la grâce de D.ieu,
7 Nissan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous sollicitez ma bénédiction. En un moment propice, on mentionnera tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. S’agissant de ce jeune homme, vous trouverez sûrement quelques amis, qui pourront lui parler, à plusieurs reprises, avec des propos émanant du cœur, afin qu’il abandonne cette mauvaise voie. Au final, l’assurance nous a été donnée que le cœur d’Israël est en éveil. Mais, comme je l’ai dit, il ne faut pas s’affecter si, la première fois, il n’écoute pas. Il faut lui parler encore et encore. Il serait bon également qu’un de ses amis prélève de la Tsédaka pour son mérite, afin qu’il renonce à ses pensées. Puisque vous m’avez transmis cette requête, D.ieu fasse que vous m’en donniez de bonnes nouvelles.
J’ai bon espoir que vous-même, qui m’écrivez, avez un temps fixé pour l’étude de l’enseignement profond de la Torah, lequel, en notre génération, a été révélé par la ‘Hassidout. Vous l’étudierez donc chaque jour et, plus largement, le Chabbat, qui est saint pour D.ieu. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Pour le Rabbi Chlita,