Par la grâce de D.ieu,
22 Adar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
De la manière dont vous décrivez la situation dans votre communauté et dans votre synagogue, il est certain que, si vous transmettez tous ces éléments aux organismes répartissant les Sifreï Torah, ceux-ci rechercheront le moyen d’accéder à votre requête. Il est clair qu’un Séfer Torah est important pour un groupement, une communauté juive, qui doit en faire une lecture publique. Mais, ceci souligne aussi l’immense importance de l’éducation des enfants, basée sur les valeurs sacrées, sur la sainteté de la Torah et de ses Mitsvot. Vous consulterez également le Choul’han Arou’h, Yoré Déa, à la fin du chapitre 270, selon lequel il est, de nos jours, une Mitsva d’écrire également les cinq livres de la Torah, la Michna, la Guemara et les commentaires. Vous verrez, en outre, ce que disent les commentateurs du Choul’han Arou’h, à cette même référence. Il en résulte qu’une intervention et un effort sont particulièrement nécessaires, pour ce qui concerne cette éducation basée sur les valeurs sacrées. Or, rien ne résiste à la volonté. J’ai donc bon espoir que vous-même et vos amis, ayant la même opinion, vous vous consacrez à cela dans toute la mesure du possible. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez le succès en la matière également.
Je profite de cette occasion pour vous rappeler qu’il convient de garder les trois études bien connues, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Comme nous l’avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, celles-ci concernent chacun et elles ont un caractère propice, dans différents domaines.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,