Lettre n° 5263

Par la grâce de D.ieu,
10 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 5 Adar Chéni.

En un moment propice, je mentionnerai le nom de votre fille, à laquelle D.ieu accordera longue vie, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’elle ait une prompte et complète guérison.

Vous me dites que vous êtes prêt à vous engager à certaines pratiques supplémentaires(1). A mon avis, un engagement conforme aux besoins et à la nécessité du moment est l’effort pour diffuser les sources de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur.

Bien entendu, je fais allusion à la ‘Hassidout ‘Habad qui a une influence sur ceux qui fréquentent les Yechivot et sont habitués à commenter, à expliquer. Or, une telle démarche est également nécessaire pour la ‘Hassidout et celle-ci existe uniquement dans la ‘Hassidout ‘Habad(2).

Il est dit que “ l’épouse d’un homme est comme son propre corps ”. Il serait donc bon que le mari de votre fille s’engage également à une étude quotidienne de la ‘Hassidout, que le saint Zohar appelle “ arbre de vie ” et “ âme de la Torah ”. Sur elle, tous les éléments négatifs n’ont aucune emprise, comme le dit le Raya Méhemna, cité par le passage bien connu d’Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken.

Le Saint béni soit-Il, Qui agit “ mesure pour mesure ”(3), renforcera ainsi la vitalité de ceux qui vous sont proches. C’est une évidence.

Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,

Notes

(1) Afin de favoriser cette guérison.
(2) Les autres formes de ‘Hassidout privilégiant l’approche émotionnelle à la perception intellectuelle.
(3) De la manière dont on agit envers Lui.