Lettre n° 5245

Par la grâce de D.ieu,
3 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,

Je vous bénis et vous salue,

Je fais réponse à votre lettre, m’annonçant une bonne nouvelle, celle de l’amélioration de l’état de santé de votre fille, à laquelle D.ieu accordera longue vie. J’espère qu’à réception de la présente, elle se sentira encore mieux et que cette amélioration se poursuivra par la suite. Vous concevrez d’elle et de tous les vôtres une satisfaction véritable, une satisfaction juive.

En outre, vous me demandez un conseil. Dans un cas comme celui que vous décrivez, il est préférable de ne pas s’interposer entre votre fille et son mari. De la sorte, ils finiront par s’entendre. Et, même si l’on ne peut pas empêcher une intervention de tierces personnes, il est préférable que celle-ci n’émane pas de vous. De la sorte, les autres cesseront également de se mêler, voyant qu’il en est de même dans le camp adverse.

Il n’est sans doute pas facile de toujours adopter cette attitude. Néanmoins, vous vous direz que vous le faites pour le bien de votre fille et, de cette manière, vous y parviendrez sûrement.

Nous nous dirigeons vers les jours de Pourim et D.ieu fasse que, très rapidement, vous m’annonciez de bonnes nouvelles.

Avec ma bénédiction,

Pour le Rabbi Chlita,