Lettre n° 5209

Par la grâce de D.ieu,
14 Adar Richon 5717,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai appris avec plaisir, par ce Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples accomplissements, que vous avez arrêté la date du mariage de votre fille, avec l’aide de D.ieu. Puisse D.ieu faire que ce soit en un moment bon et fructueux et qu’ils bâtissent un foyer qui sera réellement heureux.

Il est sûrement inutile de vous faire remarquer que le bonheur de chaque personne dépend des bénédictions accordées par D.ieu, le Créateur du monde, Qui le dirige, accorde Sa Providence à chacun d’entre nous, au sein de tout Israël.

On peut en déduire à quel point il est nécessaire de baser son comportement sur les enseignements du Créateur du monde, tels qu’ils sont consignés dans Sa sainte Torah. En pareil cas, on peut réellement penser que l’on recevra ces bénédictions divines.

Et, s’il en est ainsi de tout temps, combien plus est-ce le cas quand on se prépare à un mariage et que commence une période nouvelle dans la vie de l’homme.

En conséquence, vous et votre épouse, userez sûrement de votre influence sur votre fille pour qu’elle prenne la ferme résolution, et surtout qu’elle la mette en application, de respecter toutes les pratiques qui dépendent d’elle afin que son foyer soit orienté sur la voie du Judaïsme, de sorte qu’il connaisse le bonheur. Elle respectera, en particulier, la pureté familiale, dont les principes s’appliquent avant même le mariage et en tant que préparation à celui-ci, la Cacherout de la nourriture et le Chabbat.

Que D.ieu vous vienne en aide, afin que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit.

Avec ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,

Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,