Par la grâce de D.ieu,
1er Kislev 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que telle personne agit, envers vous, d’une manière qui n’est pas convenable. Je regrette l’approche de ce problème que vous avez adoptée. Celle-ci ne correspond pas à la mienne. Car, à mon avis, vous ne travaillez pas dans cet endroit pour faire plaisir à telle personne(1), ou bien parce qu’il s’agit de telle institution, mais parce que celle-ci appartient à mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Tous ceux qui travaillent dans cette institution y trouvent donc leur bien, matériel et spirituel, de même que celui des membres de leur famille, même si ce travail consiste à trouver les moyens nécessaires pour la diriger(2). Par ce travail, ils reçoivent donc de cette institution plus que ce qu’ils lui apportent, grâce à la miséricorde invoquée pour eux par le fondateur de l’institution, qui le dirige, mon beau-père, le Rabbi.
Il est donc bien évident, même si vous aviez, par ailleurs, parfaitement raison dans ce que vous prétendez, que votre relation et votre manière de vous exprimer ne correspondent pas à celle d’un membre de la direction(3). Il ne faut pas diminuer, ce qu’à D.ieu ne plaise, le bien que vous recevez en travaillant dans cette institution.
En conséquence, tout ce que vous écrivez de la manière dont telle personne vous parle ne concerne en aucune façon la question de votre travail.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, concernant tout cela,
Notes
(1) Au Rabbi, qui l’a envoyé là.
(2) A collecter des fonds pour assurer son fonctionnement.
(3) De cette institution.