Par la grâce de D.ieu,
17 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Mar ‘Hechvan. En un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous évoquez l’état de santé de votre épouse et l’intervention chirurgicale que les médecins préconisent pour ses pieds. Je suis surpris que vous ne me précisiez pas si l’on a essayé d’autres traitements, le port de jambières, les massages, les infiltrations. Bien entendu, avant de décider une opération, il faut essayer tout cela.
Si l’on a effectivement utilisé ces traitements sans succès, il faut demander conseil à deux médecins, spécialistes en la matière et se conformer à leur avis. La Torah a autorisé le médecin à guérir et puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.
Sans doute votre épouse a-t-elle adopté l’usage positif des femmes juives vertueuses, consistant à prélever de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. En outre, il serait bon de faire vérifier les Mezouzot de votre maison.
Et, vous gardez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. En tout état de cause, vous les adopterez, à l’avenir.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,