Par la grâce de D.ieu,
12 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 7 Mar ‘Hechvan. Bien que vous n’en disiez rien dans cette lettre, vous vous efforcez sûrement que vos amis, partageant vos idées, quand ils rencontrent votre épouse, lui expliquent ce qu’elle ne comprend pas de notre Torah, en général et de la ‘Hassidout, en particulier.
Très souvent, les paroles que l’on entend d’une personne étrangère sont mieux accueillies que celles émanant des proches, des amis et même du mari lui-même. Il est inutile de vous rappeler qu’aucun effort ne doit être épargné, pour tout ce qui concerne la Torah, les Mitsvot et l’influence accordée à la maîtresse de maison, l’épouse d’un homme étant comme sa propre personne.
Selon un enseignement bien connu de nos Sages, “ celui qui te dit ne pas avoir fait d’effort et avoir, néanmoins, obtenu le succès, ne le crois pas, celui qui te dit avoir fait des efforts, mais ne pas avoir obtenu le succès, ne le crois pas, celui qui te dit avoir fait des efforts et avoir obtenu le succès, crois-le ”. L’un des aspects de la question est de donner soi-même l’exemple, dans tous les domaines où l’on veut exercer son influence.
Que D.ieu vous accorde la réussite en tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,