Lettre n° 4823

Par la grâce de D.ieu,
10 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 5 Mar ‘Hechvan, dans laquelle vous me décrivez votre programme d’étude. Vous concluez en constatant que certaines explications sont difficiles, par exemple les termes du Rabbi(1) dans le Torah Or, à la Parchat ‘Hayé Sarah.

Vous savez sans doute que l’on a publié une explication, à ce sujet, du Tséma’h Tsédek, figurant dans les additifs du Torah Or, paru aux éditions Kehot. De façon générale, en pareil cas, quand on rencontre un passage difficile, il est clair que l’on ne doit pas le passer. Il faut l’étudier, au moins superficiellement et, si même cela n’est pas possible, on doit, au moins, en lire les mots.

Comme en toute chose(2), on peut trouver à cela une allusion dans la partie révélée de la Torah, en l’occurrence l’affirmation de nos Sages, au traité Meguila 18a : “ Avons-nous, nous-mêmes, la connaissance…(3) ? En fait, il est une Mitsva de lire… ”.

Avec ma bénédiction pour étudier la Torah et accomplir les Mitsvot de la meilleure façon, en bonne santé,

Notes

(1) L’Admour Hazaken.
(2) Appartenant à l’enseignement profond de la Torah.
(3) Comprend-on profondément le texte de la Torah que l’on étudie ?