Par la grâce de D.ieu,
3 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il me semble vous avoir déjà dit ou vous avoir même, une fois, écrit qu’il serait bon que les ‘Hassidim me transmettent les bonnes nouvelles, quand il y en a. Ainsi, D.ieu réduirait les occasions de m’annoncer des nouvelles comme celle que vous me donnez(1).
Déjà, à l’époque de l’Admour Hazaken(2), on se plaignait du fait de passer sous silence les bonnes nouvelles. Cela ne donne pas la permission de le faire, dans les générations suivantes et n’indique même pas qu’une telle permission existe. A l’époque, déjà, nos maîtres ont protesté avec véhémence contre une telle attitude.
Il en est de même, pour votre présente lettre(3). Vous ne dites rien de la manière dont on a profité du mois de Tichri pour renforcer et diffuser le Judaïsme. Je veux espérer que l’action concrète n’a pas manqué et que l’on a seulement omis de faire savoir ce qui s’était passé.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Celles qui ne sont pas bonnes.
(2) Voir les Iguerot Kodech de l’Admour Hazaken, lettre n°90. Voir aussi la lettre n°4974.
(3) Qui n’annonce que les mauvaises nouvelles.