Par la grâce de D.ieu,
11 Tamouz 5716,
Brooklyn,
A mon proche parent, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel Mena’hem Mendel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu la lettre du 8 Sivan, du 8, du 18 et du 28(2), de même que celle qui la précédait. Celle-ci présentait la suite du compte-rendu des activités des jeunes de l’association ‘Habad.
Je suis surpris de constater que vous ne mentionnez pas l’existence d’une concertation et d’une préparation de l’action, pour la période des vacances scolaires, qui approchent. En pareil cas, plus l’on agit rapidement et mieux c’est.
Sans doute engagerez-vous, suffisamment tôt, ceux qui peuvent intervenir, en la matière, pour qu’ils s’orientent en ce sens. Bien entendu, je fais allusion non pas seulement aux jeunes de l’association ‘Habad, mais aussi à tout ce qui concerne les ‘Hassidim, en général. C’est une évidence.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Vous m’interrogez sur le passage suivant du Tanya, à la page 70b : “ Certains s’émeuvent etc. ”. Vous me demandez ce que signifie ce “ etc. ”. Il définit, très simplement, la manière et la nature de cette émotion. Ce point ne sera pas détaillé ici. Et, vous consulterez l’introduction du Tanya, qui ajoute l’expression “ et prennent conscience ”. Vous verrez aussi le Likouteï Torah, au début de la Parchat Bamidbar et son commentaire.
Au début de l’index des noms du Tanya, le mot “ longuement ” est, bien sûr, superflu.
Notes
(1) Le Rav C. M. M. Schneersohn, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°4008.
(2) Vraisemblablement écrite en trois fois.