Par la grâce de D.ieu,
4 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre écrite à l’issue du Chabbat et qui faisait suite à un long silence. Puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, vous me donniez de bonnes nouvelles de l’harmonie et de l’unité qui règnent entre vous, d’une façon de plus en plus forte, “ comme le visage se reflète dans l’eau ”.
Si l’on renonce à ses propres exigences et à ses préoccupations personnelles, “ le cœur de l’homme en fait de même envers son prochain ” et l’autre éprouve un sentiment comparable. Dès lors, la proximité se crée et s’accomplit la promesse de notre sainte Torah selon laquelle la paix est le réceptacle renfermant la bénédiction du Saint béni soit-Il, une bénédiction sans limite et sans fin, car elle prend sa source dans l’infini véritable.
Une telle bénédiction se révèle également, d’une manière accrue, dans les actions que l’on accomplit, de même qu’auprès de ses élèves. Puisse D.ieu faire que vous me donniez, très prochainement, de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction de réussite et pour donner de bonnes nouvelles de ce qui vient d’être dit,