Lettre n° 3795

Par la grâce de D.ieu,
24 Elloul 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous évoquez votre propre nature et vous me la décrivez longuement(1). Vous devez connaître le proverbe de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel l’interdiction de la médisance porte également sur sa propre personne(2). Vous consulterez le Rambam, lois des opinions, chapitre 7, paragraphe 2.

Vous citez également le traité Ketouvot 17a, qui apporte, précisément, la réponse à votre question. Il est dit, en effet que “ l’avis de Beth Chamaï, par rapport à celui de Beth Hillel, n’est pas une Michna ”(3). Et, l’on peut résoudre la question qui se pose, à propos de Beth Chamaï, en fonction de ce que dit le Likouteï Torah, Chir Hachirim, au discours ‘hassidique intitulé “ Nos Sages ont enseigné : Comment danser devant la mariée ”.

Notes

(1) Mettant en avant ses propres défauts.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2056.
(3) Et, ne doit donc pas être mise en cause.