Lettre n° 3468

Par la grâce de D.ieu,
11 Iyar 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 4 Iyar, qui, pour la première fois, a été rédigée dans l’esprit que demandent nos saints maîtres, c’est-à-dire avec confiance en D.ieu. Différents textes expliquent que celle-ci confère la certitude que le Tout Puissant satisfera effectivement tous les besoins matériels, au sens le plus littéral, sans distinction, même s’il semble parfois qu’on ne le mérite pas.

Puisse D.ieu faire que vous m’écriviez toujours dans le même esprit, ce qui aura pour effet de multiplier les bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible, dans le contenu de vos courriers.

Comme vous me le demandez, je mentionnerai le nom de cette femme près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’elle ait de longs jours et de bonnes années. Je suis étonné que vous ne me disiez pas de quelle manière s’est passé son installation.

Je suis encore plus surpris que vous ne me disiez rien des réunions ‘hassidiques de ce mois de Nissan ou bien des actions qui sont menées par les femmes ‘Habad. Sans doute compléterez-vous tout cela, à la prochaine occasion.

Avec ma bénédiction pour que, très prochainement, vous vous installiez correctement, matériellement et spirituellement à la fois,