Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, de même que les quatre demandes, émanant de vos enfants. Celles-ci ont été lues, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Je fais réponse à votre question. Vous me demandez si vous devez prier en même temps que la communauté, le Chabbat, afin de rentrer chez vous en même temps que les membres de votre famille, ou bien si vous pouvez allonger votre prière.
Je suis surpris que vous soyez dans le doute, à ce sujet. La réponse à cette question a déjà été donnée dans une lettre du Rabbi Rachab, imprimée dans le troisième additif du Kountrass Ets ‘Haïm, au paragraphe 4.
Si, pendant les jours lumineux et à l’extérieur d’Erets Israël, il en était ainsi(1), combien plus l’est-elle dans l’obscurité intense de notre génération et dans le palais du Roi(2).
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Il était positif d’allonger sa prière.
(2) En Terre Sainte.